Ce matin quand on s’est levé, le tonnerre grondait, mais pas une goute ne tombait. Heureusement, tout est rentré dans l’ordre quelques minutes plus tard quand une saucée bien sévère s’est abattue sur Wuhan. D’ailleurs ici, quand il pleut, ce n’est pas comme chez nous… C’est généralement très violent, mais pas forcement très long. En attendant que ça se calme, nous avons donc décidé de prendre notre petit déjeuné dans notre chambre.

Direction donc chez Céline où plein de bonne choses (vu qu’on n’est pas bien épais ;-) nous attendait.

La pluie s’étant calmée, on est allé attraper un taxi, direction HuaShi (en face du lab). Déjà, quand on est tout seul, le taxi ne coute pas très cher (environ 10 Yuan pour le trajet chambre – labo), mais quand on est 3 dans le taxi, le prix est le même (normal…), mais on divise. Ça nous fait donc un moyen de transport rapide et économe. Enfin bon, on s’interdit de faire ça tous les jours, notre heure de marche quotidienne nous faisant le plus grand bien !

Le soir, on est allé manger dans un restaurant juste à coté de celui où l’on s’était amusé avec l’alcool de riz. En fait c’est un restau de type « universitaire », où l’on peut payer avec la carte de RU. Il y a plein de types différents de plats, il faut donc qu’on l’explore plus en détail…

En sortant, avec Céline on s’est pris un magnum dans le supermarché juste à côté. 4 Yuan pièce. C’est nettement moins cher qu’en France, mais bon ils sont plus petits aussi.

On a trouvé quelque chose de marrant sur l’emballage.

Un Windows Live Space sur un magnum, voilà qui va plaire à Richard ;-)

Par contre, comme il fait assez chaud et que les congélateurs sont plus proches en température des frigos, Céline à eu quelques problèmes de fonte précoce…

Quand on va dans ce restau (ou plutôt, celui d’à coté) on rentre par « le tunnel ». Ça fait film d’horreur comme ça, mais en fait, c’est juste un tunnel sous LojaShan (je vérifierai comment ça s’écrit…), la montagne du campus de l’université de Wuhan.

Ce tunnel à été construit pendant la guerre pour que la population puisse s’abriter lors des attaques aériennes. A peu près tous les 50 mètres, il y a des ouvertures sur le coté, et selon Liu Xing, elles permettent de descendre dans les pièces où les gens se réfugiaient.

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